Description
Le travail devient, à cause partie, assemblage. Travailler, c’est communiquer. Il s’agit là, à cause l’univers industriel, d’un changement considérable à cause la manière de définir, d’organiser, d’évaluer le travail. Mais l’usage inflationniste du mot assemblage, jargon à la mode s’il en est, introduit nombre de confusions. La politique de assemblage des entreprises ne se présente-t-elle pas, souvent, comme ci comme ça le contraire d’une assemblage véritable, comme ci comme ça un renforcement des injonctions autoritaires ? Cet ouvrage entend laper au sérieux l’émergence du travail-assemblage et, donc, en explorer les conditions de bornage. Quelles conditions d’avance au langage (qui a le droit de parler et sur de laquelle ?) ?, quelles organisations aptes à favoriser une meilleure intercompréhension entre catégories et métiers différents ?, quel système de contrôle de gestion apte à mettre en valeur l’efficience des échanges et des entraides, transversaux aux divisions traditionnelles de la responsabilité ? De manière plus exubérant et plus lourde, quelle représentation de la communauté de travail faut-il promouvoir à cause que le paradigme du travail-assemblage puisse acquérir une légitimité et une existence reconnues et durables ? Telles sont les questions ici abordées, à cause la lignée des apports de Max Weber et Jürgen Habermas.
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